poesies

L’homme naît s’emplissant de tourments, de douleurs Dans son corps, il comprend que si survit son cœur, Il bat sans condition jusqu’à disparition. Il ne sait pas vraiment s’il faut vivre ou mourir Mais il s’attache aux gens ne voulant plus partir. S’il...

Je t’écris très cher, cher enfant, chère insomnie Pour soulever des poids trouvés sur ton papier En espérant que vite tu seras rétabli Et tu t’efforceras à nouveau de m’aimer. J’ai appris par tes soins que tu m’avais trahie Comme d’autres amies qui en...

Avant, j'aimais les fruits de mon imagination Dans un univers qui ne devait pas te plaire Car mon idole fut souffrances et passions. Tu as mis en avant les plaisirs de la chaire. J'ai aimé que tu sois mon absolu au delà De l'humain et j'ai cru être seule...

S'il restait la force d'abattre cet Arbre. Dans notre temple la foi n'est plus de marbre, Plongeant ses racines dans nos morts les sages. L'osbcurité recouvre notre héritage. Tue le fruit défendu par les hommes souffrant, La maladie remplit les âmes d'air...

Tu me parles de vie qui apparaît enfin Tu me dis tes envies;j'en ai tellement faim Elles n'aboutiront pas dans ce corps dissolu Pour de la pureté je ne me lève plus. Tout ce que tu décris, je ne m'en souviens pas. Pire parfois je crois que ça n'existe...

Je t'ai dit reviens si tu regrettes un jour Tu es mon seul pays, tu es mon seul amour Si je me perds dans leurs regards en t'attendant Je retrouverai mon chemin en t'entendant. Tu ne m'as même pas crue quand tu t'es retiré J'ai perdu ma force, j'ai perdu...

__ Je ne sais pas si tu as compris tout ce que je vois en toi, mais tu es une merveille. En tous cas, tu sembles saisir que ta sensibilité te sera fatale. Tu la dissimules mal tu sais. Crois-tu que l'on t'aime assez pour te venger? __ J'ose l'espérer....

Valmont Inspirée par les flots, j'ai perdu ton rivage Le néant, c'est ce que m'inspire ton visage Redore ton blason vieilli de pauvre garce Ta triste protection n'est plus une menace Tu crois pouvoir t'enfuir, tu n'as pas le pouvoir Et c'est trop douloureux...

Le vice s'est instruit aux creux de nos rêves. Protégé par la nuit, il nous a attaqués A coup de paradis au goût de nos ennuis Parce qu'on ne change pas un esprit éveillé. Le mal qui s'est encré dans notre réflexion Ne sera décelé que dans des conditions...

Car tu crus qu'il suffit d'un chagrin pour sortir Une douleur ancrée, tu avanças toujours Et soudain t'arrêtant, tu compris que le poids Du passé était là, attaché à ton corps. Tu étais livide, revenant d'autre fois Constatant à quel point la vie t'avais...